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Des indicateurs à la baisse concernant la 5e vague de COVID-19

Publié le 28 janvier 2022 par Maxim Ouellette-Legault

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Maxim Ouellette-Legault

Journaliste | mouellette@medialo.ca

Le 27 janvier 2022, le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) a noté une évolution à la baisse concernant la 5e vague de la crise sanitaire de COVID-19. Selon le directeur national de la santé publique, Luc Boileau, « le tout semble se stabiliser ». Il invite les Québécois à prendre la dose de rappel.

Pour ce qui est des assouplissements progressifs, le directeur national de la santé publique dit ne rien pouvoir prévoir: « On sait que les gens voudraient avoir plus de prévisibilités sur les assouplissements. C’est difficile de donner un calendrier, car il faut suivre cette évolution et comment elle va se manifester dans les prochaines semaines ». (Photo Depositphotos)

Luc Boileau explique que « nous sommes dans un moment charnière de la pandémie », et que « beaucoup de choses semblent se stabiliser. On note de moins en moins de cas d’hospitalisations ». Cette évolution à la baisse permet d’appliquer certains assouplissements, « pour progressivement aller vers une vie normale », explique M. Boileau. Néanmoins, il rappelle que la crise n’est pas terminée pour autant. Il invite la population « à poursuivre leur approche de gestion des risques ».

« C’est difficile pour tout le monde, on comprend, mais il faut rester prudent ».

« Il faut éviter tout recul, on ne veut pas retourner en arrière. Il faut prendre en considération le mieux-être de la population, le développement des jeunes, la santé psychologique, les besoins de socialisation », explique Luc Boileau. Pour ces raisons, il invite donc la population à recevoir la dose ce rappel, ce qui pourra permettre de poursuivre les réouvertures progressives.

« On n’a pas 50% de gens vaccinés pour les 40-50 ans. Il faut que les gens prennent ça comme un appel pour les aider eux-mêmes face au virus. On va tous se retrouver devant le virus un jour ou l’autre, on doit se donner des outils. De plus, ce n’est pas le quart des 18-39 ans qui ont reçu la dose de rappel. »

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