Intersection Maclaren/ avenue de Buckingham
Le marquage pourrait être à revoir
La fermeture pendant plusieurs heures de l’intersection Maclaren et avenue de Buckingham la semaine dernière après qu’un camion ait arraché le poteau de la lumière ramène le questionnement sur les enjeux pour les camions de circuler à cet endroit. Un dossier qui devra être regardé, confirme le conseiller de Buckingham, Edmond Leclerc.
Sans dire que c’est fréquent, le conseiller reconnaît qu’il y a eu plusieurs accrochages dans les derniers mois entre les camions et la lumière. Des fois, ce n’est que les feux de circulation qui bougent et doivent être replacés, mais à certaines occasions, comme la semaine dernière, c’est le poteau complet qui est accroché.
Le conseiller estime que la solution passera probablement par du marquage différent à l’intersection pour les gens provenant de l’avenue de Buckingham. En ce moment, pour la ligne des automobilistes tournant vers le pont Brady, la ligne d’arrêt est reculée un peu. Mais cette ligne d’arrêt est peu respectée par les automobilistes.
Sans vouloir commenter cet aspect, le conseiller estime qu’il faudrait peut-être la déplacer encore et marquer l’endroit différemment. « Je pense à Thurso notamment. On a l’intersection avec la 148 où c’est difficile pour les véhicules de tourner. Pour arrêter à la lumière, il faut arrêter à une certaine distance et le sol est ligné. »
«Est-ce que c’est une solution ? Peut-être ou peut-être pas non plus. Il y a peut-être des contraintes techniques. L’intention de demander quelles études fait par le passé par rapport à ça.»
En ce qui concerne la possibilité de revoir l’intersection au complet, le conseiller indique ne pas avoir eu de discussions avec les services à ce sujet au moment de l’entrevue. Il n’avait pas parlé non plus avec les spécialistes sur la possibilité d’avoir des mesures physiques.
Bretelles de Georges
Un aspect que cet accident a démontré, c’est l’importance que cette intersection a dans les déplacements pour les gens de l’Est de Gatineau. La fermeture de ce secteur en pleine heure de pointe du retour a causé de nombreux embouteillages.
Pour Edmond Leclerc, la situation démontre le besoin de remettre en avant-plan la question de la bretelle de sortie sur la rue Georges qui avait été présentée par l’ancien conseiller de Masson-Angers, Marc Carrière.
Surtout en ce qui concerne la sécurité incendie. Advenant une urgence avec le pont fermé, les services devront faire un long détour. «Le schéma en sécurité incendie nous dit que c’est sécuritaire. Il va être revu bientôt. J’ai hâte de voir la situation en fonction de la révision du schéma d’incendie. Ça va nous donner un indice.»
Le conseiller estime qu’il faudra profiter des prochains mois pour tenter de faire avancer ce dossier. «Ça va être une revendication à maintenir. Peut-être en vue de la prochaine élection.»
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