Généreuse récolte lors de la Grande guignolée des médias

Publié le 6 décembre 2022 par Serge Cazelais

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Serge Cazelais

Journaliste | scazelais@inmedias.ca

Des bénévoles et des représentants des médias se sont positionnés sur deux intersections des secteurs Buckingham et Masson-Angers lors de la Grande guignolée des médias qui s’est tenue le 1er décembre. L’événement aura permis de récolter un montant de 3897,10$ au profit de la Banque alimentaire de la Lièvre.

Des bénévoles lors de la Grande guignolée des médias à Masson-Angers Photo gracieuseté - Banque alimentaire de la Lièvre

Des bénévoles et des représentants des médias locaux étaient visibles à deux emplacements. Le premier se situait à l’intersection de la rue Georges et du chemin Filion et l’autre à l’intersection des rues des Laurentides et de Neuville.
Pour l’ensemble de l’Outaouais, la collecte extérieure du 1er décembre qui s’étendait sur une quarantaine d’intersections a pu récolter la somme de 44 569$.L’opération de guignolée se poursuit. Les gens peuvent venir porter directement leur don aux locaux de la Banque alimentaire de la Lièvre ou encore faire un don en ligne sur le site web guignolee.ca.
« De notre côté, nous avons continué samedi chez IGA et nous avons amassé un autre 1100$ », informe la directrice générale de la Banque alimentaire de la Lièvre, Anne Mercier.
Mme Mercier ajoute que les besoins sont gigantesques, compte tenu de l’inflation qui sévit actuellement. « On a besoin de sous, ainsi on peut acheter ce dont on a besoin », dit-elle.
Elle précise qu’il est aussi possible de donner des denrées alimentaires. L’organisme a particulièrement besoin de soupes en conserve ou en sachet, de tomates en conserve, de sauce tomates, de légumes en conserve et de céréales pour enfant.
Mme Mercier invite les gens à suivre le calendrier de l’Avent que son organisme publie sur sa page Facebook.
Si les besoins de l’organisme sont grands, elle ne remet aucunement la générosité des citoyens en question. « Les gens doivent avant tout sécuriser leur famille, si on est capable de donner, on donne, mais on prend soin de sa famille d’abord », conclut-elle.

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