Bingo des Chevaliers de Colomb de Buckingham
Une reprise rapide nécessaire pour aider l’organisme
Les Chevaliers de Colomb de Buckingham espèrent une reprise rapide des activités de bingos pour pouvoir assurer la survie des installations de Buckingham.
Depuis l’arrêt des activités à la mi-mars à la demande du gouvernement, la salle des Chevaliers de Colomb de Buckingham ne tient plus aucune activité et ne dispose donc de plus aucun revenu.
Mais d’un autre côté, les dépenses courantes se poursuivent. «On est sur le respirateur artificiel, indique le Grand Chevalier, Claude Masson. Il n’y a aucune manière que l’argent entre ici. Et ce n’est pas le temps de cogner aux portes pour demander des dons.»
Les prochains mois risquent donc d’être importants pour l’organisme qui doit engranger des revenus au bar de la salle pour l’aider à payer les dépenses courantes.
«Si ça ne part pas, c’est la communauté qui est punie. C’est pour ça qu’on a hâte que ça reparte. On paye le chauffage pareil, on paye les assurances. Mais monétairement, il n’y a rien qu’on peut faire.»
Un plan
En attente de nouvelles des gouvernements, les Chevaliers de Colomb ont préparé un plan pour la relance des bingos pour être prêts dès que la permission sera donnée.
«Je suis venu à bout de faire un set up qu’on est en train de placer selon les normes de distanciation, explique M. Masson. Mes salles seraient prêtes pour accueillir environ 150 personnes en haut et en bas.»
Tout le monde serait assis à deux mètres et les couloirs laisseraient plus de place pour les déplacements. La salle d’en bas serait maximisée et la deuxième salle du bas pourrait aussi être aménagée pour accueillir d’autres joueurs en cas de besoin.
L’organisme s’est aussi procuré du nettoyant pour les mains qui sont installées à chaque entrée de l’édifice et une personne confectionne des masques pour offrir aux visiteurs qui en auront besoin. Des règles sont aussi établies pour les bénévoles notamment avec l’installation de plexiglas et le port d’un masque ou d’une visière.
Il ne reste qu’à savoir quelles seront les autres règles qui seront réclamées par Québec et surtout à quel moment la permission sera donnée.
La question qui reste le plus en suspend concerne le nombre de personnes dans chaque salle. Dans les plans de Claude Masson, la salle principale sera la plus utilisée avec 95 personnes. Environ 60 se retrouveraient dans la salle du bas.
Si le gouvernement impose des limites plus basses de personnes dans une salle, ça pourrait nuire à la relance du bingo, mentionne le Grand Chevalier. @R:Puisque l’organisme se doit d’accueillir assez de personnes pour pouvoir payer les prix remis chaque semaine, au minimum. Sans parler du reste du montant qui retourne dans la communauté par la suite en don aux organismes.
Cet aspect sera d’ailleurs très difficile dans la prochaine année, alors que les Chevaliers de Colomb auront eu moins de revenus des bingos en 2020 et donc auront moins d’argent à partager aux organismes.
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