Nathalie Charette se joint au Carrefour culturel ESTacade
L’ancienne directrice des ressources matérielles et financières à la Commission scolaire au Cœur-des Vallées, Nathalie Charette est la nouvelle directrice par intérim du Carrefour culturel ESTacade.
Mme Charette a accepté de prendre la relève de ce poste par intérim et de travailler à la relance de l’organisme et de la salle de spectacle lorsque la pandémie sera terminée.
Retraitée dans la dernière année et ayant terminé un contrat additionnel avec la commission scolaire, Nathalie Charette cherchait un nouveau défi à relever. «J’ai fini de travailler vendredi passé. Je me retrouvais un peu devant rien. Je regardais du côté du conseil d’administration. Mais les gens m’ont demandé pourquoi je ne regardais pas du côté de la direction générale.»
Rapidement, le dossier s’est réglé entre les deux parties et Nathalie Charette a accepté de relever le défi. «J’ai toutes les compétences pour faire le travail. Je connais le dossier. J’étais là comme directrice des ressources matérielles au moment du premier protocole avec l’ESTacade. J’étais là tout le long, incluant les travaux de rénovation. Je connais bien le dossier. Je pense que je peux donner un nouvel envol au carrefour.»
Pandémie
De gros dossiers attendent la directrice générale par intérim dans les prochaines semaines. Elle doit notamment finaliser le nouveau protocole d’entente avec le Centre de services scolaire au Cœur-des-Vallées (CSSCV) pour la salle de spectacle à Hormisdas-Gamelin. Le contrat se termine en mars prochain. «Dès mon entrée en poste, c’est dans mes premiers dossiers à régler», confirme Mme Charette.
Mais c’est surtout le dossier de la relance du carrefour après la pandémie qui demandera du travail. Mais Nathalie Charette croit que ça pourrait être bénéfique pour l’ESTacade. «Je me dis que c’est peut-être un bon tremplin pour repartir.»
«Je pense que les gens, une fois qu’on va pouvoir rouvrir les salles, ils vont avoir soif de culture. On l’a vu hier (dimanche) avec le Gala de l’Adisq. Les gens ont besoin de ça beaucoup. Il faut être prêt.»
«En attendant une des choses que je veux explorer, c’est la question des subventions, ajoute-t-elle. Il y a quand même beaucoup de sommes qui ont été mises à la disponibilité des organismes. Je veux voir si on est capable de trouver un créneau quelque part.»
Elle souhaite aussi travailler à une première offre culturelle pour être prête au moment de la relance. « Si j’étais capable de faire une petite programmation rapidement pour remettre la salle sur la place publique, ce serait bien. On est dépendant de la volonté du gouvernement. Mais il faut être prêt.»
Voir plus de : Culture
Un 45e Salon du livre de l’Outaouais qui célèbre la littérature « À Voix Hautes »
Du 22 au 25 février 2024 aura lieu la 45e édition du Salon du livre de l’Outaouais au Palais des …
Partir à la volée : une création dramaturgique qui invite au voyage et à la rencontre
Les amateurs de théâtre pourront assister, le vendredi 26 janvier à Montebello à une lecture en 16 tableaux de la …
Montebello accueille un bonhomme carnavalesque connu
En 1954 naissait Bonhomme Carnaval, représentant du festival mythique d’hiver de Québec. Pour son 70e anniversaire, Bonhomme s’est permis une …