Personnel scolaire
Les postes d’enseignants comblés, quelques besoins en soutien
Le Centre de services scolaire au Cœur-des-Vallées aura dû faire des rencontres jusqu’à la dernière minute avant le début des classes, mais tous les postes d’enseignants ont été pourvus à temps pour la première journée mardi dernier.
La semaine précédente, il restait encore six postes à combler au Centre de services scolaire. La situation évoluait de jour en jour, indiquait alors le directeur du Service du Secrétariat général, des communications et du transport scolaire, Jasmin Bellavance.
Après la rencontre du conseil d’administration du CSSCV, mercredi soir dernier, la Directrice du Service des ressources humaines, Julie Leclair, a confirmé qu’il y avait «un enseignant devant chacun des groupes d’élèves» et que «les contrats aussi, ils sont comblés».
Encore une fois cette année, le CSSCV comptera dans son personnel enseignant des gens ayant obtenu une tolérance d’enseignement. D’autres sont aussi en attente de cette désignation qui est accordée par le ministère. Lorsqu’elles sont accordées, ces tolérances sont bonnes pour deux ans.
«Une tolérance, c’est une demande faite au ministère de l’Éducation pour qu’une personne qui n’a pas de qualification puisse avoir le droit d’enseigner à nos élèves.» Par exemple, un musicien pourrait être engagé pour donner un cours de musique. Il n’a pas étudié en enseignement, mais il est en mesure d’offrir le cours en raison de ses connaissances. Le fait d’obtenir cette reconnaissance du gouvernement permet à la personne d’avoir un contrat.
Personnel de soutien
Si la situation est bonne pour les enseignants, il reste encore des postes à combler du côté du personnel de soutien. Ça touche principalement les petits contrats de moins de 26 heures par semaine, en particulier ceux de 5 ou 10 heures.
«Des fois, des postes à temps partiel qui ont des heures minimes, par exemple un cinq heures par semaine, c’est plus difficile à combler, affirme Mme Leclair. Il reste des choses à combler.»
Par contre, il n’y a pas d’impact en ce moment sur les élèves, affirme Mme Leclair. «Dans l’école, il n’y a pas de bris de service parce qu’à l’interne, une personne qui a un poste de 26 heures peut venir couvrir pour un 5h par exemple. Mais on n’a pas un titulaire du 5h.»
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