La lutte de la GPW
Le gros gala annuel à l’aréna de Buckingham
Pour la première fois, la GPW se déplacera à l’aréna de Buckingham le 11 juin prochain pour son gala le plus important de l’année, Guerre Civile II.
La fédération de lutte basée à Buckingham a repris ses galas à la salle des Chevaliers de Colomb avec le retrait de plusieurs mesures liées à la pandémie. Ils ont pu tenir un gala en novembre dernier, de même que deux en avril et mai.
Le dernier gala a eu lieu samedi et servait à mettre la table à ce gala d’envergure à l’aréna. Pour la GPW, Guerre Civile est leur Wrestlemania, soit le gala le plus important dans une année. «Toutes les histoires qui vont arriver en fin de semaine vont faire en sorte que ça va être une carte intéressante», indiquait un des propriétaires, Guillaume Charbonneau, lorsque rencontré avant la tenue du dernier gala.
La GPW fait salle comble lors de ses différentes prestations à la salle des Chevaliers de Colomb et les dirigeants croient être en mesure de faire de même avec l’aréna de Buckingham. Ce n’est d’ailleurs pas la première expérience dans des endroits plus grands alors qu’ils ont tenu un gala au centre Méridith et un autre au Hilton du Lac-leamy au cours des dernières années.
Pour ce qui est de la carte du gala du 11 juin, elle va s’annoncer au fur et à mesure sur la page Facebook de la GPW. Les dirigeants promettent que les fans retrouveront les lutteurs qu’ils aiment ou qu’ils aiment détester. «On a des gars qui sont là à longueur d’année avec nous autres. Quand on fait un gros show c’est eux autres qu’on veut mettre de l’avant.»
Bonne visibilité
Pour la GPW, le gala à l’aréna de Buckingham est une autre façon de donner de la visibilité à la fédération et aux lutteurs. Pour donner le goût aux gens de revenir, en particulier aux enfants.
Les lutteurs ne cachent pas que la présence des enfants, qui réagissent énormément à ce qu’ils font, est toujours intéressante. C’est pourquoi beaucoup d’attention est mise sur le contenu du gala pour ne pas être trop extrême. «C’est une sortie de famille, affirme Martin Villeneuve, un des propriétaires. Il n’y a pas trop de violence, pas de vulgarité, pas de sexualité.»
«Si l’enfant a aimé ça, il veut revenir avec toute sa famille», ajoute de son côté Derek Clément pour expliquer l’importance de ce public.
Pour parler de leur vision de la lutte, Guillaume Charbonneau rappelle la lutte des années 80. «On revient aux racines. Dans le temps d’Ultimate Warrior, Macho ,man. Quand il y avait des histoires, mais pas dans le looker room. Un bon contre un méchant.»
«C’est ça nous autres, des rivalités qui durent plusieurs mois et bang à Guerre civile ils vont s’affronter. Le bon contre le méchant, qui va gagner ?»
Info : Page Facebook GatineauProWrestling
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