CLSC de Saint-André-Avellin

«C’est non négociable. On doit préserver les services qui sont donnés à Saint-André-Avellin parce que ce sont des services de proximité. La pandémie nous a fait réviser certains plans, notamment au niveau de la couverture, mais pour moi c’est clair. Il faut que ce service demeure accessible pour les gens de la Petite Nation.»

«Dans un monde idéal, on conserverait l’idée de départ qu’on avait, d’élargir les heures d’ouverture. Par contre, l’enjeu devant nous n’est pas financier, mais de recrutement. C’est difficile partout. »

Mines/claims

«Il n’y aura pas de projets de mines s’il n’y a pas d’acceptabilité sociale. Je comprends qu’il y a de l’inquiétude de la part de certains citoyens. Je me ferai un devoir d’aller à leur rencontre pour qu’on soit capable d’en discuter. Il faut avoir ce dialogue. Pendant la campagne électorale, j’ai rencontré des gens qui sont en faveur de l’exploitation minière à Papineau. Qui y voit une occasion de créer des emplois, de nous enrichir, de participer au virage vert. D’un autre côté, j’ai rencontré des gens qui sont très inquiets, qui jugent que c’est incompatible avec l’ADN de la communauté. Devant des points de vue divergents comme ça, c’est important d’avoir un dialogue et moi, je m’assurerai de pouvoir parler à toutes ces personnes-là.»

École

«Dans le mandat qui vient de se terminer, on a investi des sommes records, non seulement pour rénover, mais pour agrandir et construire de nouvelles écoles. Dans la circonscription, je pense à L’Ange-Gardien et à Sacré-Cœur. Dans le milieu rural, on a également de grands besoins. Je pense notamment à Ripon, à Papineauville à Buckingham. On va continuer le travail qui s’est amorcé. En 2018 et qui n’est pas terminé malgré des sommes importantes. »

CPE

«Il y aura une place pour chaque enfant. Actuellement, on développe assez de place dans la MRC de Papineau pour que chaque parent en trouve une pour son petit. Ça veut dire que lorsque tous les projets qu’on a annoncés vont être construits, on devrait avoir un équilibre. Maintenant, si on manque de places, j’ai modifié la loi pour nous assurer que le gouvernement soit tenu de développer de nouvelles places. On sera au rendez-vous si le besoin continue de grandir.»

Gouvernance locale

«On est en train d’opérer une décentralisation dans le réseau de la santé. Non pas en jouant dans les structures, mais en s’assurant que les décisions se prennent plus près des patients. Dans Papineau, ça veut dire qu’en plus de l’adjoint de proximité nommé au début du mandat, on ajoute un poste de directeur. Est-ce qu’on peut s’inspirer de ça pour faire la même chose avec le ministère des Transports du Québec. C’est une bonne question. C’est quelque chose que j’ai beaucoup entendu de la part des maires de la MRC de Papineau. Je trouve que c’est une idée qui a du bon sens et je suis à leur côté pour la faire cheminer.»

Transport en milieu rural

«Je sais depuis un moment que ça préoccupe les citoyens et je sais aussi que ça préoccupe la MRC. J’ai déjà assuré le préfet et les citoyens qui m’en ont parlé que je serais au rendez-vous pour soutenir les projets qui me seront présentés, notamment celui qui est sur la table à dessin au niveau de Transcollines.»

Développement économique

«Pour que ce développement économique ait lieu, ça nous prend des projets. Certains vont dire que la solution, c’est d’aller vers l’exploitation minière. D’autres qu’il faut continuer d’investir dans le tourisme. L’industrie forestière aussi est industrie importante. Il faudra rester vigilant, regarder toutes les possibilités. On sera au rendez-vous.»

Immigration

«L’immigration pour nous c’est une richesse. On en a non seulement besoin, mais en plus elle enrichit notre culture. La différence entre nous et d’autres partis politiques c’est que de notre côté, on prétend que ce n’est pas la grande solution à la pénurie de main-d’œuvre. L’immigration a plein d’autres belles vertus, plein d’autres avantages, mais ce n’est pas la seule et unique solution à la pénurie de main-d’œuvre. On doit se tourner vers d’autres solutions comme la requalification et les travailleurs expérimentés qu’on souhaite convaincre de rester sur le marché du travail.»

Logement

«On a pris des engagements pour la construction de nouveaux logements abordables au Québec et je m’assurerai que si on a des projets dans Papineau, ces projets-là puissent s’arrimer. Je souhaite qu’on ait notre juste part .»

Foresterie

«C’est un dossier sur lequel j’ai énormément travaillé dans les dernières années. C’est un dossier difficile parce qu’actuellement les gens qui souhaitent acheter l’usine de Thurso, il n’y en a pas. Il y a certaines personnes qui ont soumis des projets. Mais c’était des projets dans lesquels les citoyens devaient investir tellement d’argent public que ça faisait en sorte que ces projets-là se disqualifiaient. On continue d’explorer les possibilités, mais c’est un dossier qu’on va devoir faire avancer dans les prochains mois. Il faudra prendre des décisions. Si un acheteur se manifeste, bien sûr on va l’accompagner. On chauffe l’usine. On a investi de l’argent pour la maintenir artificiellement en vie. On est motivé à ce que ça fonctionne. Mais en même temps, si ça ne fonctionne pas, il faudra se tourner vers l’avenir et prendre des décisions. Prendre les bonnes décisions pour la communauté de Thurso.»

Chauffer Fortress cet hiver

«C’est un dossier sur lequel je vais faire le point avec mon collègue qui sera nommé à l’économie dans les prochaines semaines.»

Ambulance

«Quand je parle avec les gens sur le terrain, quand je parle avec la coopérative, le constat que l’on fait tous, c’est qu’avec les investissements, les annonces qu’on a faites, les changements qui s’en viennent, la situation sera encore plus sécuritaire qu’elle l’était auparavant. C’est une amélioration. Maintenant, il reste encore des améliorations qui pourraient être apportées. Les gens qui ont ça à cœur et moi, on a convenu que même si c’est un grand pas vers l’avant, une bonne nouvelle, il fallait continuer d’améliorer le service. Je leur ai assuré que je serais un allié pour faire ça.»

Promesses dans la campagne

Protection des lacs

«On a pris l’engagement de mettre sur pied un fonds bleu de 650 millions $ pour protéger nos lacs, nos rivières. Une part de ces investissements vont se faire dans notre région. Ce que je m’engage dans Papineau, c’est qu’il y ait au moins 100 000$ qui seront investis pour financer des projets très locaux soumis par des citoyens. C’est important de ne pas seulement avoir des grands projets, mais peut-être aussi des projets plus petits comme des stations de lavage ou des plates formes pour enlever le myriophylle.»

Parc de Plaisance

«On propose l’agrandissement du parc. C’est un investissement de 15 millions $. Beaucoup de Québécois ont renoué avec le plein air pendant la pandémie. C’était déjà bien présent dans la Petite-Nation, mais on a profité de la campagne électorale pour mettre cette promesse de l’avant.»

Couverture cellulaire

«On a tenu parole avec Internet même si dans la MRC c’est un peu plus long en raison du fournisseur. On souhaite répéter ce travail-là avec la couverture cellulaire. On est en 2022, je pense qu’il est grand temps qu’on soit en mesure de faire des appels partout sur le territoire.»

Collaboration entre les partis

«Le premier ministre a été très ouvert. On pourra collaborer avec eux quand ils auront des bonnes idées. Dans la région, je suis toujours ouvert aux bonnes idées. C’est sûr que parfois, la joute politique fait en sorte que ça brasse un peu plus. Lorsqu’on est de bonne foi, quand il y a des projets positifs sur la table, on est aussi capable de collaborer. Il y a des choses qui nous séparent entre adversaires politiques, mais il y a des choses qui nous rassemblent aussi. Si on est en mesure de travailler sur des choses qui nous rassemblent, je répondrai pr.snet avec plaisir. »

Réforme du scrutin

«L’engagement qu’on avait pris était de déposer un projet de loi sur la réforme du scrutin, c’est ce qu’on a fait. C’était un projet de loi fouillé, crédible, sérieux. La pandémie est arrivée. On a revu nos priorités. Dans Papineau, personne ne m’a parlé de ça pendant la campagne électorale. Quand on fait la liste de nos priorités, on a déjà beaucoup de pain sur la planche. Ce n’est pas quelque chose qu’on a l’intention de le remettre de l’avant.»

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